Il existe selon l’analyse transactionnelle trois formes de sentiments qui “brouillent” les transactions. Eric Berne décrit donc :
- les sentiments accumulés qu’il appelle aussi “timbres”,
- les sentiments parasites qu’il appelle aussi “rackets”,
- les sentiments réactivés qu’il appelle aussi “élastiques”.
Les êtres humains, depuis leur naissance, réalisent des transactions sources de sentiments dits positifs ou négatifs. Ils accumulent ainsi au fil de leur vie des sentiments appelés timbres,en référence au système de timbres utilisés dans le commerce, que certains collectionnent d’ailleurs.
Lorsqu’un sentiment se substitue à un autre, qu’une réaction s’efface pour donner la place à une autre plus “convenable”, plus “acceptable”, alors on parle de rackets.
Enfin, lorsqu’un sentiment éprouvé aujourd’hui déclenche une sorte de déclic génère un ressenti dans la mémoire de l’individu, on parle alors d’élastique.